• La vie est parfois difficile, pour continuer à tracer sa route on a besoin d'être lié à quelque chose qui nous tient vivant. On a besoin de soutien, d'amour ou d'une petite attention. Tous les jours, un sourire, un regard ou un simple mot pour nous prouver que les gens nous voit et font attention à nous. Ce n'est pas grand chose, mais c'est les choses qui participe au bonheur humain. Un bonheur que j'aimerais tâter le temps d'un instant, connaître juste une seconde pour voir ce que c'est, la vraie vie. Mais ça m'est impossible. Je ne l'ai jamais vécu, j'ai toujours vécu dans la salleté, l'alcool, l'horreur. Mon père saoul tous les soirs battaient ma mère, mes frère vivaient sur les routes et revenaient crevé le week-end. C'était affreux. Moi, au milieu, j'essayais de trouver ma place. Dans les seuls et rares moments de calmes j'avais l'impression d'être mise à part, personne ne me regardait, personne ne me parlait. Cette vie était devenue infernale. Je ne pouvais plus vivre ainsi. Pourtant, en moi, mon optimisme me faisait rester là. Au bout d'un certain temps, j'ai été battue. Je ne faisais pas mon travail de bonne, me reprochaient les membres de ma famille. Etais-je bonne qu'à ca ? A les nourrire, à faire le ménage, à les servir ? Non. Je ne voulais plus vivre cet enfer cruel. Cette vie horrible qu'était la mienne. Je n'en pouvais plus. Je craquais. Le seul moyen pour quitter ce mode de vie insuportable était de partir. Mais où ? Pour y faire quoi ? Comment je mangerais ? Tant de questions se bousculaient dans ma tête, mais j'imaginais le froid de la rue brûlant, dur à affronter, mais j'y voyait aussi l'aube d'un nouveau départ, d'une nouvelle vie. Pendant des semaines je continuais à rester au services de ses tortionnaires, préparant mon échappée au milimètres près pour que rien n'échoue et que je réussisse à m'évader de cette prison, de ma maison. L'idée était enfin réalisé, j'avais tout mon plan en tête. Je partirais demain. Une aventure m'attends, j'y vois un avenir doux et paisibles. Je braverais les dangers qui s'offriront à moi pour pouvoir respirer le parfum de la rue, le parfum d'une liberté. Parraît-il que la liberté à un prix. Je suis prête à le payé. Je ne vivrais plus cette vie tapis dans l'ombre du malheur, la vie que Laurianne Zakon à vécu pendant 15 ans. Je voulais oubliais, changé de vie. Pour changer de vie il fallait que je change de nom, que je change de souvenirs, de but. J'avançais vers un avenir incertain, avec une personne qui était enfouie en moi et que je découvrais petit à petit, que je nommais maintenant : Libertie Kaoza.

    --------------------------------------------------------------------------------------------------------------

    Voilà. J'espère que vous avais pu prendre un peu de plaisirs à lire ce prologue, même si il est assez triste. Si vous avez la moindre remarque, positive, négative ou quoi que ce soit faite m'en part par commentaire, j'essaierais d'en tenir compte par la suite.

    Merci à tout ceux qui ont pris le temps de lire ce petit bout de texte.


    votre commentaire
  • Alors bonjour tout le monde déjà, c'est moi la Webmiss.

    Je me présente, j'ai pour nom Laura, j'ai 14 piges. Dans ma vie j'ai plein de passions, comme la musique. Mais les plus grandes restent les sciences et l'écriture. Je suis très famille. C'est important pour moi. Mais ce qui l'est aussi, important dans ma vie, c'est mon idole, Christophe mae. Je l'aime énormément (pas pour amour, je suis pas une groupie), j'ai été le voir une seule fois en concert, pour mon anniversaire, c'était une soirée magnifique. Bon on s'en fou un peu de ma vie mais bon. J'ai besoin de parler, de raconter, d'écrire surtout. Ecrire c'est bien plus qu'une passion, c'est une grande partie de ma vie. Pourtant j'aimerais devenir Chirurgien ou Ingénieur Chimiste ou prof' de physique/chime & math. Enfin voilà. Pour compiler deux des choses qui compte pour moi j'ai créer ce blog, un blog ou je vais écrire une histoire (Fictive, je préfère préciser) sur Christophe mae. J'espère une chose, que vous déposerez des commentaires, et que je pourrais écrire assez bien pour que ça vous intéressent un minimum.

    A bientôt !


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires